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Traversée des Pyrénées d'Ouest en Est 2016

5 septembre 2016

Dernier message : 05 Septembre : Retour sur le plancher des vaches + les videos promises

 

 

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Toutes les vidéos sont maintenant en ligne :

  • Vous trouverez celles sur notre journée à 2800 m avec l'interview de 2 anciens transpyrénéens dans le message relatif à l'étape 35,
  • celles sur le Canigou avec l'escalade de la cheminée dans le message relatif à l'étape 37
  • celle sur le bonus dans le message "Un Bonus pour la gloriette, tous pour un, un pour tous"

Retour sur la journée du Dimanche 4 Septembre. Nous quittons le Parador à 7H20, Joelle nous accompagne jusqu'à la cabane de Larri pour profiter du paysage formidable sur le cirque de Pineta. Nous constatons cependant que les névés sur le massif du Mont Perdu ont considérablement diminué depuis notre passage le 7 août (cf photos). Au passage au col d'Estiva nous montons sur le Pic situé 25 m plus haut avec 2 mousquetaires (cf photo) qui ne semblent plus avoir tout à fait leur esprit (victimes du mal des montagnes ?). La descente se déroule sans encombre et nous arrivons à l'hotel de la Fuen à Parzan à 13H30. Marco a fait les 2 étapes manquantes et gonfle les muscles de joie (cf photo). Nous sommes également très heureux d'avoir pu faire ce petit supplément qui complète cette traversée réalisée à 4 de bout en bout.

Les meilleures choses ont une fin et il faut bien terminer cette histoire pour en recommencer une autre alors au revoir à tous, ce fut une belle aventure qui en appelle d'autres. A++++++

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3 septembre 2016

Bonus pour la Gloriette : 3 et 4 Septembre : un pour tous, tous pour un

 

 

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Le "rendu" de Marco sur les étapes 17 et 18 n'étant pas parfait, nous avons décidé de refaire ces deux étapes avec lui pour peaufiner notre traversée et n'avoir aucun regret. C'est une sorte d'examen de septembre pour les étudiants qui n'ont pas réussi tous leurs examens en juillet. Nous sommes donc revenus à l'Hospitalet avec le célèbrissime "train jaune" (cf photo) puis en voiture à Gavarnie. Après une nuit à l'auberge de la Munia dans le cirque de Troumouse (cf photo avec au fond le sommet de la Munia (plus de 3000m), Joelle nous conduit au lac des Gloriettes (cf photo) qui est le point de ce nouveau départ.

Ce super bonus que nous appellerons le "bonus pour la Gloriette" rejoint la Transpyr interrompue par Marco en dessous de la Hourquette d'Alans et selon la fameuse devise des mousquetaires "tous pour un, un pour tous", nous l'accompagnons. Nous allons parcourir le cirque d'Estaubé (cf photo) dans son intégralité, une marmotte à peine réveillée et peu farouche se fait surprendre par le photographe (cf photo). Après avoir rejoint le tracé de la Transpyr nous repassons sous le couloir de Tuquerouye et refaisons la même photo que le 7 août (cf photo), le sac a été bien allégé grâce à Joelle et nous sommes en grande forme, la montée au Port neuf de la Pinède est presque une formalité réalisée en 3h00. Au sommet Marco valide son passage (cf photo), il a parfaitement négocié le col sans stress, le rendu est parfait. Il reste la descente, toujours aussi vertigineuse (cf photo) mais où les protagonistes font preuve d'une grande habileté chacun dans son style (cf photos). Nous constatons que le glacier du Mont Perdu a perdu sa neige depuis 1 mois, il est maintenant en glace vive et que la cascade au pied de laquelle j'avais trouvé un bouquet d'ancolies (cf étape 18) est maintenant à sec. Quel changement en si peu de temps. Nous sommes en bas de la descente à midi et après un casse croûte léger nous arrivons au Parador que nous avons décidé de nous offrir pour la nuit à 14h00; Joelle, très attentive à notre alimentation (quelle chance nous avons), nous rejoint peu après avec une excellente tarte aux myrtilles, des merveilles et des raisins de quoi attendre tranquillement le repas du soir. Très bel endroit que ce Parador avec une vue exceptionnelle depuis la terrasse sur le cirque de Pineta, ses cascades, le Mont Perdu, le Cylindre et la cîme de Ramond (cf photo). A demain pour la suite du "bonus pour la Gloriette".
Vidéo sur la descente du Port Neuf de la Pinède vers Pineta : 
1 septembre 2016

Un petit bonus de notre Arthur Rimbaud : 01 septembre

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Poème de Didier du 31 août 2016

DANS NOS PAS...
     
Du rivage Atlantique
Aux sables de l'Orient
Ils ont gravi des pics
Et franchi des torrents
      
Les sentiers bucoliques 
Les parcours hésitants 
Les montées athlétiques 
Les chemins éprouvants 
      
Le grand itinéraire 
Jouant de la frontière 
A enchanté ses pères 
Les quatre Mousquetaires 
     
Les sommets majestueux
Aux névés entêtés
Abritent dans leurs creux
Des lacs aux doux reflets
      
Que de belles vallées 
Que de forêts mystère
Que de sources enchantées 
Que de fleurs éphémères 
       
Quand l'isard caracole
Quand la marmotte guette
C'est la vie qui s'envole 
Et c'est l'été en fête 
          
Quarante et une étapes 
Des rivières de sueur
La fatigue dans les pattes
Et la joie dans les cœurs 
        
Merci au GPS
Aux cartes, aux sacs à dos
Aux bâtons pour l'adresse
Et vive les godillots!
    
Merci à nos lecteurs
A nos accompagnants
Pour toute la bonne humeur
De ces âmes d'enfants
     
Au delà des chemins
Des couleurs, des images
C'est la "main dans la main"
Qui marque ce voyage...

   

1 septembre 2016

Étape 41 et dernière étape : 01 septembre : le bout du chemin

 

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C'est un long chemin que nous avons parcouru ensemble, aujourd'hui nous avons devant nos yeux un immense lac bleu qui occupe tout le paysage, c'est le bout de notre chemin mais dans nos têtes les rêves continuent et d'autres chemins se dessinent que nous essaierons de suivre tant que nos forces nous porterons. Notre joie est immense et nous voulons y associer tous ceux qui ont fait un bout de chemin avec nous (ils sont 36 paraît il) et tous ceux qui nous ont suivi et encouragé car vous ne pouvez pas imaginer combien cela nous a été précieux. 

Revenons sur cette dernière journée qui commence par une halucination de Marco croyant avoir trouvé, sur un plateau du bar, la piste des éléphants roses promise fin juillet , en fait un dessin avec le sous titre delirium.

Nous montons d'abord sur un pic hérissé d'antennes à 1200m avec une vue étendue jusqu'au Canigou (cf photos) d'où nous assistons à un superbe lever de soleil sur la mer (cf photo). Notre parcours de crête se poursuit à plus de 1000m avec une vue sur la côte d'Argeles à Cadaques, on se demande quand il faudra descendre. Des tours génoises jalonnent le paysage sur de petits sommets au dessus de la plaine côtière. Là où nous sommes c'est encore la nature sauvage, à tel point que nous surprenons 3 petits sangliers broutant dans l'alpage; les Carlines sont très nombreuses et très ouvertes (cf photo). Mais c'est maintenant la descente et elle est raide et chaude car nous sommes maintenant à l'abri du vent. Rencontre avec un randonneur qui se lance dans la traversée Est-Ouest, nous lui souhaitons bonne chance. La vue sur Banyuls se précise de plus en plus à mesure que nous descendons (cf photo) et des vignes basses avec leurs grappes de raisins presque mûrs apparaissent. En arrivant aux portes de la ville un homme qui a détecté en nous des voyageurs au long court nous dit que nous sommes arrivés et nous offre une poche de bonbons à chacun en guise de cadeau de bienvenue, sympa. La petite ville est accueillante et nous ne tardons pas à retrouver Gérard F et Anne Marie qui nous font une vraie fête avec champagne et petits fours sur la plage. Jean Yves et Laurence nous rejoignent peu après et nous remettent la médaille d'or des randonneurs (cf photos des festivités). Les baigneurs s'interrogent sur ces personnalités bizarrement accoutrés qui ont débarqué sur la plage. Nous finirons la fiesta à l'hôtel "le Catalan" mais ce n'est pas racontable. Ce n'est pas complètement fini car nous vous réservons un petit bonus et des vidéos qui n'ont pas pu être diffusées.

 

 

31 août 2016

Étape 40 : 31 août : Allez l'Ouillat

 

 

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Eh oui nous sommes au col de l'Ouillat (938 m) ce soir et quoi de plus naturel que ce cri de joie à la veille de notre arrivée à Banyuls : "allez l'Ouillat".

Petit déjeuner sympa à l'hôtel des Trabucayres (bandits de grands chemins) qui a vu passer des personnalités espagnoles importantes en 1939 au moment de l'exil (Cf photo). Une fois n'est pas coutume l'étape commence par une descente vers le col de Perthus sans grand intérêt si ce n'est le site romain rencontré peu avant Perthus et le fort de Bellegarde construit par Vauban qui garde le col (Cf photo). Nous suivons la frontière et ses nombreuses bornes numerotées (cf photo). Il fait chaud à Perthus, village à cheval sur la frontière où il se vend de tout; nous nous y arrêtons pour manger une paella pas vraiment inoubliable. Nous en repartons après le repas pour remonter sous la chaleur vers le col d'Oulliat après avoir traverser le célèbre autoroute reliant la France à l'Espagne, grand couloir de pollution au milieu des montagne. Nous nous en éloignons vite et suivons le GR10 à travers sentiers et chemins bordés de buissons de mûres (excellentes) et où les papillons fourmillent (cf photo). Nous arrivons au gîte (cf photo) à 16h00 d'où la vue s'étend jusqu'au Roc de France gravi la veille (cf photo). A demain pour l'arrivée à Banyuls.

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31 août 2016

Étape 39 : 30 août : Cap au Sud

 

 

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Petit déjeuner un peu tardif au camping du Vallespir qui nous fait partir à 8h15, Marianne, elle nous a quitté de bonne heure pour faire un plongeon dans la Méditerranée avant d'aller retrouver ses chers élèves après demain. Cela a été un grand plaisir de partager avec elle ces jours de randonnée avec toujours des événements imprévus dont elle a le secret. La ville d'Amélie que nous traversons en plein centre à l'heure du début du marché, s'éveille tranquillement et la moyenne d'âge des personnes rencontrées comme d'ailleurs celles du camping, traduit à la fois la proximité de la rentrée scolaire et le caractère thermal de la ville. La montée vers le Roc de France (1450m), montagne la plus septentrionale de France (nous sommes en effet au sud de Cerbère), commence après Amélie sur un sentier peu entretenu qui traverse une forêt épaisse de chênes verts et de hêtres avec quelques trouées nous permettant de voir le massif du Canigou et Amélie (cf photo). Une rencontre avec le propriétaire d'une grosse bâtisse moyenâgeuse rénovée (Cam Félix) (cf photo), en pleine forêt nous apprend le passé charbonnier de la vallée confirmée par la présence de fours. Le site de Roc de France est constitué de plusieurs pitons rocheux parmi lesquels on a du mal à identifier le sommet. On en escalade plusieurs pour assurer le coup (cf photo). A la descente nous découvrons une vue sur le cap Creus en Espagne (cf photo) qui est le lieu où la chaîne des Pyrénées se jette dans la mer (cf photo). Philippe nous avait promis un café au Réfugi espagnol des Salines malheureusement ce qui avait été un refuge, (il y a 13 ans) est maintenant un sanctuaire où l'on ne peut trouver que de la nourriture spirituelle. Ce ne sera que partie remise. A la frontière que nous franchissons pour retourner en France, nous coupons le camino de la Libertad qui a été un passage important de fuite des réfugiés de la guerre d'Espagne. A 17h00 nous rejoignons le village de Las Illas, petit hameau aux allures de bout du monde et lieu de notre bivouac. C'est un charmant village où la municipalité a mis à disposition un terrain de camping gratuit avec douches pour les randonneurs. Très bon accueil à l'hôtel dels Trabucayres et super gigot "spécial randonneurs". A demain

29 août 2016

Étape 38 : 29 août : Amélie les Bains descente avant t(h)erme

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Aujourd'hui c'est le grand plongeon (2200m de descente, 300m de montée et 34 km), nous allons nous retrouver à 300m d'altitude alors que nous ne sommes pas descendus en dessous de 1000m depuis plus d'1 mois. C'est une descente avant la fin qui va nous permettre de gérer les 3 dernières étapes à notre main. Dernière vue sur le Canigou dans la brume (cf photo) juste avant que Joelle se torde un peu le pied (l'infirmerie a permis de la remettre sur pied sans pb). Nous passons devant le joli refuge non gardé d'Estagnole (photo) avant d'arriver à Batere où le gîte d'étape nous réserve un casse croûte maison très bon. Vue sur la mer (photo) à la tour de Batere (photo), cette fois il n'y a pas de doute malgré le plafond bas c'est bien elle. Arrivée sous l'orage à 18h30 au camping de Vallespir. A demain

28 août 2016

Étape 37 : 28 août : A l'assaut du phare de Catalogne

 

 

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Départ 6h45 pour cette journée où nous prévoyons d'escalader à 10 le pic du Canigou (2784m) ou Canigo (dent de chien) phare de Catalogne. Le ciel est limpide et nous avançons en colonne sur un sentier confortable, de l'arrière on peut entendre le murmure des conversations de devant qui vont bon train et dont les tonalités s'étagent entre la voix claire de Joelle et le ton sourd de Dominique (cf photo et vidéo). Un décrochage d'une partie du groupe provoque une pause réparatrice de 10 mn. Après ce repos la pente se redresse et les derniers 500m de dénivelé s'annoncent plus sévères, nous décidons de monter en groupe à la vitesse du plus lent. Pascale marche dans les pas de Marco accrochée comme un wagon à sa locomotive. Marianne après être passée dans les mains du gourou Jean Pierre, est ressucitée et avale la pente dans les pas de Philippe. La colonne se fait doubler mais elle avance régulièrement. Les derniers 50m se font dans une large cheminée qui se resserre vers le sommet avec des marches prononcées (cf photo et vidéos). La colonne se désagrège un peu mais c'est un moment de plaisir pour tous de faire cet exercice d'escalade facile avec comme perspective le sommet tout proche où l'on voit très nettement la croix et les nombreux randonneurs. Le sommet est atteint à 11h15 presque dans le temps prévu, ce qui montre l'efficacité de notre tactique, il est occupé par au moins 30 personnes; comme dit Philippe on se croirait à la Gare Montparnasse. La joie se lit sur tous les visages à l'arrivée au sommet, particulièrement sur celui de Pascale qui a souffert de son dos mais qui a pris comme nous tous du plaisir dans l'escalade de la cheminée. Malheureusement nous ne verrons pas la mer, dont nous ne sommes éloignés que de 50 km, perdue dans les brumes de l'horizon.La descente vers le refuge de Cortalets se fait sans difficulté et sous un beau soleil retrouvé et au milieu de la foule des randonneurs de ce dernier dimanche d'août (petits et grands, joggeurs, français, espagnols et autres nationalités). Les menaces de pluie annoncées semblent être pour plus tard. Le Canigou est vraiment le point de ralliement pour toute la région. Pour nous c'est la dernière haute montagne avant le plongeon vers la mer (2200 m de dénivelés négatifs et 335m positifs prévus demain). Au refuge des Cortalets Gérard nous quitte (on le retrouvera à l'arrivée à Banyuls), cela a été un super compagnon pendant ces 3 jours, Stéphane et Pascale font de même et nous rendent le grand service de transporter nos poubelles, cela a également été un grand bonheur de partager avec eux ces journées de marche en Cerdagne et de finir en apothéose. A demain

Les vidéos : 

Le groupe de 10 en marche vers le sommet :https://youtu.be/ktEvDr07vW8

Le pied de la cheminée : https://youtu.be/4O1FBkM7uyk

En pleine escalade : https://youtu.be/WT8nm-aqy2M     https://youtu.be/OxQl85Z8iI0    https://youtu.be/NfAZ2tRXsy4

La sortie de la cheminée :https://youtu.be/xpbjiptBmqk

Le sommet : https://youtu.be/dbbw__sl_FQ

PS 1 pour Chantal : les conditions techniques de retransmission de cette traversée des Pyrénées ne sont pas toujours parfaites, la transmission des photos est en particulier une vraie difficulté lorsque la connexion n'est pas bonne (c'est le cas aujourd'hu) ce qui explique qu'il puisse y avoir un décalage entre le texte et les photos.
PS 2 pour Chantal : Nous sommes tous des jeunes retraités, nous sommes donc déjà dans la vraie vie. 
28 août 2016

Étape 36 : 27 août : Le désert des tartares au pays du Canigou

 

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Une nuit calme au refuge Ul de Ter. Fait rare la journée commence par une descente sur la station de ski de Val de Ter (2150m) sans intérêt particulier, si ce n'est que nous rencontrons beaucoup de monde, puis nous remontons sur un immense plateau à 2400m que nous ne quitterons pas avant 14h00. Les isards gambadent joyeusement dans cette réserve mais sont plus farouches qu'hier, la vue est très étendue : à l'est nous avons en point de mire le Canigou, notre objectif de demain (cf photo) et à l'ouest la chaîne des pics franchis hier derrière les pierres levées qui bordent le sentier et servent de cairns (cf photo). Philippe aperçoit même la mer mais il faut avoir de bons yeux et y croire. La végétation est rase (quelques rares arbustes) et les fleurs sont rares à cette altitude mais on trouve quelques jolies gentianes bleues et mauves (cf photo). La crête que nous longeons avant de plonger vers le refuge de Mariailles est somptueuse (cf photo), c'est une lande pierreuse un peu monotone au bord de laquelle les roches émergent comme des crêtes de coq. Certains esprits imaginatifs s'attendent à voir émerger des cavaliers mongoles dans cette immense steppe d'altitude. Nous arrivons à 15h30 au refuge de Mariailles (cf photo) dont le panneau de bienvenue nous fait sourire (cf photo). Alors que nous partons pour monter les tentes un peu au dessus du refuge, Jean Pierre, Stéphane, Pascale et Marianne arrivent; ils ont de leur côté fait une randonnée dans les magnifiques gorges de Carança que nous avons vues de haut. C'est maintenant la veillée d'armes avant le Canigou, nous prenons la météo pour vérifier que le ciel sera avec nous, a priori la dégradation est annoncée en fin de journée, nous essayerons donc de passer avant. À suivre, à demain. 

28 août 2016

Blog à part du 28 août

De Didier après l'ascension du Canigou à propos de Philippe qui a servi de guide à Marianne durant la montée et qui l'a tour à tour sermonner et cajoler : "c'est un coach double face".

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Traversée des Pyrénées d'Ouest en Est 2016
  • Ce blog a pour but de donner des nouvelles en direct de la traversée des Pyrénées par les 4 Mousquetaires (Marco, Philippe, Didier et Dominique) du 19-07 au 01-09-2016 entre Hendaye et Banyuls en 42 étapes et 3 jours de repos (45000m de deniv et 746 km).
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